Ce soir à la télé, un chef d’oeuvre du cinéma britannique : Le Journal de Bridget Jones. En français, ça aurait donner Le journal de Brigitte Martin ! Alors laissons ce titre en langue de Shakespeare !
Contrairement à Sex & the City, ce film m’a de suite parlé même si à l’époque de sa sortie, j’avais dix ans de moins que l’héroïne et ne connaissais donc pas la crise de la trentaine. Une bonne dizaine d’années plus tard, une saga Harry Potter avalée en livres comme en films et sept saisons complètes de Doctor Who dégustées en Anglais dans le texte, je m’enfile ce soir Bridget Jones’ Diary !
Une grand vague britannique souffle donc sur ma chambre privée ainsi que sur la cuisine où on peut sentir le matin du bacon grillé sur des English muffins toastés sous du cheddar Made in UK !
A la veille de mes $€% ans, je me reconnais en Bridget Jones : trop de kilos d’ennuis, trop d’ennui, aucune vie sociale, une vie casanière trop présente, une vie professionnelle pas franchement épanouissante. Mais au moins je ne fume ni ne bois pas. C’est déjà ça ! Comme Bridget, j’ai mon lot de copains déjantés et délirants, j’ai mon lot de râteaux et de désillusions sur l’espèce masculine ainsi que sur la race féminine. Moi aussi, je m’exclame sur du Céline Dion, du Adèle ou même pire il m’arrive de m’époumoner en conduisant jusqu’au parking.
Prochainement la série Sherlock. (on continue dans le rosbif…)